Diversifier les systèmes de livraison

Si la plupart des entreprises se sont tournées vers la livraison à domicile, ce procédé engendre de nombreuses dépenses. En effet, les embouteillages et le prix du carburant à la hausse entraînent des coûts supplémentaires. L’insatisfaction clientèle devient également fréquente en raison des retards de livraison. Pour y remédier, la meilleure solution est de trouver différents modes d’acheminement des colis.

Il est possible de proposer à vos clients de les livrer à des horaires plus décalés, en soirée ou pendant le week-end. Sinon, de nombreuses entreprises optent pour le retrait en point relais. Multipliez les relais piétons pour permettre à vos clients de chercher eux-mêmes leurs colis près de leur domicile.

Investir dans de nouveaux modes de transport

De nombreuses villes, comme Paris, Bordeaux et Lyon instaurent des mesures pour réduire la pollution en milieu urbain. De cette initiative, est née la vignette Crit’air, qui classe les véhicules selon leur niveau de pollution. Si certains véhicules sont donc interdits dans ces grandes agglomérations, d’autres sont autorisés à des heures limitées.

Pour optimiser la livraison du dernier kilomètre, il est donc dans votre intérêt de renouveler votre flotte, en investissant dans des véhicules plus propres. Sinon, les vélos sont également une bonne option, sachant qu’il s’agit d’un investissement moins coûteux que l’achat de véhicules électriques.

Automatiser certains processus de la livraison dernier kilomètre

Pour optimiser la livraison du dernier kilomètre, vous pouvez recourir à des outils de planification automatique. Renseignez-vous sur MTS-1 pour mieux comprendre ce concept. L’idée est d’analyser le flux d’informations fourni par les clients pour gagner du temps et éviter les dépenses superflues lors de l’acheminement des marchandises. Le logiciel peut ainsi organiser la tournée en se basant sur les points comme les adresses des clients et les contraintes auxquelles vous devez faire face.

1. Gilet de sauvetage

Lorsqu’on navigue en bateau, le pilote doit être en mesure de connaître toutes les règles relatives à la sécurité à bord. Ainsi, il a pour responsabilité de vérifier l’existence des gilets de sauvetage sur son bateau. Cela fait partie des équipements obligatoires à avoir pour un bateau. Il convient que le nombre de cet équipement de flottabilité soit proportionnel au nombre de passagers dans l’embarcation. Pour être sécuritaire, un gilet de sauvetage doit être compatible avec la morphologie des passagers ainsi qu’à la zone de navigation.

2. Dispositifs lumineux

Les dispositifs lumineux sont des outils qui permettent de localiser un navire en détresse ou des personnes à la mer. En cas d’incident, la survie des passagers dépend de la présence de cet équipement. Ce dernier s’agit le plus souvent de set de feux rouges ou de bâtons lumineux verts. L’autonomie de ces bâtons est de 6 heures de temps en moyenne. Leur portée peut aller au-delà de 1 mille nautique.

3. Bracelet Mob RY651 Navicom

Si un passager tombe à la mer, on a besoin d’un dispositif afin de le repérer facilement. Ici, il s’agit du bracelet RY651, un des produits Navicom sur Comptoir Nautique. Celui-ci dispose d’un système de réception de signaux d’alertes sonore et visuel. Grâce à ce bracelet de survie, il est possible de savoir rapidement quand un des équipages tombe par-dessus bord. Notez que plusieurs bracelets peuvent simultanément envoyer des signaux de détresse.

4. Dispositifs de communication

La présence d’un dispositif de communication est très importante sur un bateau. Toutefois, il faut vérifier que l’équipement est bien adapté à la navigation en mer. Vous pouvez vous équiper d’une radio haute fréquence ou VHF afin de communiquer votre position en cas d’incident et d’avoir des informations sur la météo. Privilégiez une VHF fixe pour une communication à longue portée. En revanche, si vous recherchez l’autonomie et la praticité, une VHF portable est ce qui convient le mieux pour vous.

Le fonctionnement d’un bateau à voile

Pour un bateau à voile, c’est la force du vent qui l’aide à avancer. La poussée aérodynamique sera suffisante pour déplacer plusieurs tonnes. Puis, il ne sera pas nécessaire d’avoir le vent depuis la poupe. En effet, même si la force aérodynamique vient sur le côté, le bateau à voile arrivera toujours à avancer. Parfois, il faut juste naviguer en zigzag. Quoi qu’il en soit, la vitesse sera proportionnelle à la voilure, mais aussi à la forme de la coque et le poids du navire.

Une embarcation à moteur thermique

La plupart des bateaux modernes ont un moteur thermique. Les plus gros navires ont une motorisation diésel tandis que les plus petits utilisent l’essence. Dans les deux cas, la combustion du carburant fait déplacer un piston à l’intérieur d’un cylindre qui se trouve dans le bloc moteur. Les mouvements successifs de plusieurs pistons sont captés par un vilebrequin. La rotation passe par une boîte de vitesse pour ensuite être transférée à l’hélice. Ce dernier hache l’eau pour créer une force de propulsion.

Un navire combinant les technologies

Depuis la création de la machine à vapeur, les bateaux utilisent deux modes de propulsion. Au début, c’étaient la voile et les roues à aubes latérales. Actuellement, les catamarans ou les yachts mixent la voilure avec l’hélice. Le moteur servira principalement pour les manœuvres au port, mais le vent suffira en haute mer. Certains navires militaires combinent la machine à vapeur avec le nucléaire. La fission d’atomes d’uranium enrichi génère une forte chaleur. Cette énergie fait bouillir l’eau. La vapeur dégagée actionne les pistons pour créer une rotation à transmettre à l’hélice.

Principe et fonctionnement du LOA bateau

Pour un plaisancier qui a vise l’achat d’un bateau, il doit d’abord se rendre chez un financier. Ce sera ce dernier qui entamera le processus d’acquisition du bateau que le plaisancier va louer et qui, à termes, fera l’objet d’un achat. La location se fera donc, sur une durée déterminée. Ainsi, le locataire va contracter une location avec le financier et lui versera un montant qui servira de loyer mensuel, selon les termes du contrat. À termes de cette location, le plaisancier pourra demander à acquérir le bateau, mais cette option devra être mentionnée dans le contrat initial. Il s’agit de la location avec option achat sur le bateau. Concernant la durée de la location, il dépendra de ce qui est convenu entre les deux parties. Mais dans tous les cas, cette durée est de 3 ans minimum et peut aller jusqu’à 15 ans. Pour ce qui est de la procédure d’entretien, il revient au locataire de s’en assurer. Il se chargera dans ce cas, de toute la partie maintenance, mais aussi, des frais de port, du paiement des assurances, ainsi que des charges liées au fonctionnement du bateau. Par ailleurs, durant la signature du contrat, le plaisancier devra aussi payer un premier loyer dont le montant est supérieur aux loyers qui vont suivre. En effet, il comprendra le dépôt de garantie qui peut être de 1% jusqu’à 50% de la valeur totale du bateau.

Pourquoi opter pour ce système ?

La LOA bateau est un système très souple et particulièrement avantageux. En effet, vous aurez droit à une réduction de la TVA avec ce système. Cela, étant donné que vous n’aurez pas à payer de taxe une fois que vous êtes en pleine mer et que vous sortez des eaux territoriales françaises. Il disposera même d’une réduction allant jusqu’à 50% du montant de la taxe, ce qui revient à 10%, si le bateau a la capacité de naviguer en haute mer. Pour ce qui est de l’acquisition, le financier qui met en location le bateau a la possibilité de récupérer la TVA appliquée sur le bateau. De ce fait, il peut vous faire une réduction sur le prix d’achat. Enfin, la LOA bateau considère également que le contrat soit transférable à un autre tiers. Toutefois, vous devez prendre en compte que cette procédure doit passer par un organisme de crédit.

La cote de votre moto d’occasion

La cote d’une moto ne se base pas sur une seule référence. Il peut y avoir plusieurs cotes diffusées, en fonction de la plateforme qui la publie. Toutefois, on ne peut définir la cote que si on a une valeur sur le marché.  C’est donc, la base. Ainsi, dans la plupart des cas, ce sont les tarifs diffusés sur le net par des sites de références, ou par des magazines spécialisés, qui permettent de définir la cote d’un modèle de moto d’occasion. Il faut donc, savoir qu’il est possible que la cote soit différent d’un site à l’autre ou d’un support à l’autre avec une différence qui peut aller jusqu’à 20 % d’écart. Toutefois, comme référence, il vous est possible de visiter le site de l’Officiel du Cycle de la Moto. C’est l’enseigne de référence sur le sujet. Toutefois, vous devez aussi savoir que cette enseigne ne diffuse que des références assez basses par rapport aux autres cotes. Pour la référence la plus haute, vous pouvez vous informer sur le site de la Centrale. Le Repaire des Motards diffuse, quant à lui, des références de cotation, pour appliquer des prix moyens et qui sont très représentatifs du marché de la moto d’occasion.

Comment calculer le prix de votre moto d’occasion ?

En vous référant aux cotes sur le marché, il est possible de faire les calculs y afférents et applicables à votre modèle de moto. Pour ce faire, il faut avoir une base d’au moins deux prix sur des sites sûrs. Ensuite, prenez en compte les procédures d’entretien de votre engin. Si l’entretien est régulier, il aura une bonne cotation. Mais ce le sera encore plus, si cette démarche s’est faite au niveau d’un concessionnaire. Il faut aussi voir et considérer l’état de votre bolide tout comme son historique. C’est-à-dire, s’il a déjà fait l’objet d’une retouche dans un garage ou victime d’un accident. Il faut également voir le respect de l’hivernage, ainsi que le kilométrage effectué. En effet, la cotation d’une moto d’occasion est définie par calcul en prenant en compte le nombre de kilomètres effectué par an. Il existe une base dans ce cas. Elle est de 6000 km pour un roadster et 12 000 si c’est un GT. Si le kilométrage de votre moto dépasse ces références, elle sera décotée. Autrement, elle va être surcotée.